Le samedi 4 avril, c'était le carnaval de Toulouse, alors forcément, le weekend ne pouvait pas être très efficace! En plus, la mauvaise nouvelle, c'est que j'ai une épicondylite, un tennis elbow quoi... Mais non, je n'ai pas joué au tennis, j'ai juste fait un petit mur en béton ciré!
C'est quoi l'épicondylite? C'est expliqué ici :
Bref, entre mon bras en écharpe et Sophie qui a paradé dans les rues de Toulouse avec son masque africain et son copain le gorille de 10m, pas beaucoup d'avancées ce weekend.
Carnaval, repos post-carnaval, il a quand même bien fallu se remettre au travail le lundi.
Véro avait un mot d'excuse, nous étions donc accompagnées des toujours fidèles au poste Pauline et Anne. La honte, le matin, elles étaient devant la porte du chantier avant nous!
Atelier lasure de la porte et de la fenêtre pour Anne... pendant que Pauline teste une méthode non homologuée mais efficace pour utiliser la scie égoïne (j'te jure c'est son nom, je n'ai rien inventé!).
Pendant ce temps, Sophie désembouait les radiateurs et en profitait pour faire réapparaître les briques foraines de la cour à grands coups de karcher.
Puis, elle s'est mise à la deuxième couche de lasure pendant que Pauline et moi continuions le plancher.
Ca a encore bien avancé... mais les semaines à venir seront moins intéressantes et plus monotones : les artisans finissent cette semaine, et ce sera à nous de jouer pour la dernière ligne droite avant l'installation dans les lieux : plancher, peintures et parquet!